En page 58, un article a retenu l’attention de buzz marketing.

On peut y lire une interview d’Adrienne de Malleray (en savoir plus : http://www.d8.tv/d8-docs-mags/d8-au-coeur-de-l-enquete/cid780624-adrienne-de-malleray.html#bio), et qui se termine par le paragraphe suivant :

"« Vous êtes en train de restaurer une longère près d’Angers, région dont vous êtes originaire. Où en êtes-vous au niveau des travaux ? »"

L’intéressée (Adrienne de Malleray donc, pour ceux qui ne suivent pas) répond alors :

"« Ils ne font que commencer. Mais je m’y rends plusieurs fois par mois pour faire accélérer le chantier et flâner dans les brocantes alentour, dont celle d’Angers qui a lieu chaque premier dimanche du mois. »"

Or il est intéressant de noter que cette femme célèbre, donneuse d’ordre, constate que l’avancée des travaux ne peut se faire sans un suivi de chantier assidu. C’est le travail d’un Maître d’oeuvre, qui dispose des compétences techniques pour s’assurer de l’état d’avancement des travaux conforme au projet de construction ou ici de réhabilitation. Pour en savoir plus sur cette profession encore méconnue du grand public, consultez cette fiche métier sur l’Assistance à Maîtrise d’ouvrage : http://www.jusseo.com/assistance-a-maitrise-d-ouvrage-s15010.html

Dans le cas présent, toute bricoleuse qu’elle est, Adrienne de Malleray gagnerait à déléguer cette mission auprès d’un MOE de la région !